mardi 29 novembre 2011

"VISAGE IDEAL" de MICKELANGELO :analyse et impressions

                                                   MICKELANGELO"VISAGE IDEAL"
     
    Je ne trouve pas les mots qui peuvent décrire la beauté du tableau du grand peintre MICKELANGELO(1475_1564), intitulé "VISAGE IDEAL" rotel sur papier,dimension 16*20cm , qui se classe sous le cadre de fabrication immédiate,style renaissance ,conservé maitenant à Florence;Galerie des offices et qui représente le portrait d'une jeune belle femme.
La couleur de sable qu'il a utilisée donne une certaine tranquillité à l'ame, les plus petits détails sont soigneusement dessinés.
Pour mettre en valeur le visage(partie sombre),il a fait recours à la technique picturale:clair-obscur.
Ce portrait fait preuve d'un grand soucis de l'observation et du réalisme,et prouve aussi que la beauté féminine était pour toujours une source d'inspiratin des artistes.
Si on établit une petite comparaison entre ce tableau et celui de QUENTIN "AFFREUSE  DUCHESSE":les deux représentent le portrait d'une femme l'une est radicalement différente de l'autre mais toutes les deux ont un regard expressif mlgré la différente position de la tète:une a la tete élevée l'autre a la tète baissée.
Au niveau des techniques: le 1er est plus riche de techniques et de des effets d'optique que le second.
    Si Mickel-ange nous a impressionnés par ses grandes et gigantesques oeuvres il a pu le faire aussi par les simples d'entre elles comme le prouve ce tableau qui sa beauté réside dans sa simplicité!!
                                                                                                                                     
                                                                                                                                 SAYEH FOUZIA



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  • La légende de Léda


      Léda était la fille du roi d'Etolie : Thestios. Quand Tyndare, prince spartiate, fut chassé de son royaume par son demi-frère, il se réfugia à Calydon auprès duroi Thestios. Ce dernier donna sa fille Léda en mariage à Tyndare. Héraclès vaincra le demi-frère de Tyndare et rétablira sur son trône le prince spartiate. Les deux époux auront une fille : Timandra. Mais un événement va bouleverser leur vie.
    Tyndare oublia, lors d'un sacrifice de réserver une part à Aphrodite. La déesse résolut de se venger sur l'épouse de Tyndare et sur sa descendance.
    Un soir, Léda se baignait au bord de L'Eurotas ; elle aperçut un cygne qui fuyait devant un aigle. Aphrodite s'était métamorphosée en aigle, Jupiter en cygne. Aphrodite ainsi poursuivait son but : sans éveiller les soupçons de Léda, elle conduisait Jupiter vers la jeune femme pour qu'il la séduisît. Léda reçut avec innocence le cygne dans ses bras : l'oiseau la couvrit de caresses. De cette étreinte allaient naître d'un même œuf des jumeaux : Pollux et Hélène (enfants deJupiter). Léda accoucha en même temps d'un autre œuf qui donna vie à des jumeaux : Castor et Clytemnestre (enfants de son mari Tyndare). Castor et Polluxseront surnommés les Dioscures = les garçons de Zeus. Hélène et Clytemnestre entraîneront, par la malédiction d'Aphrodite, le monde grec vers de sanglants et tragiques épisodes.

    Commentaire:
    J’ai choisi ce dessin préparatoire à un tableau perdu de Léonard de Vinci : ‘Léda’.

    J’aime la grande douceur qui émane de ce visage, ainsi que cette coiffure faite de tresses enroulées. J'imagine les cheveux dénoués, longs et ondulés. La référence à la mythologie n'est pas pour me déplaire... pour ceux qui veulent connaître l'histoire du cygne et de la belle

    vendredi 25 novembre 2011

    Quentin Massys - L'affreuse duchesse - 1530

                       L’œuvre porte le nom de « L’affreuse duchesse » ou « Vieille femme grotesque » ou encore appelée « Portrait d’une vieille femme ». C'est une  huile sur toile de 64 x 45,5 cm est exposée à la « National Gallery » de Londres. Son auteur Quentin Metsys est né en 1466 à Louvain et est mort en 1530 à Anvers le 14 septembre. C’est un peintre flamand du mouvement artistique des primitifs.

                    Des siècles entiers que l’« affreuse duchesse », s’attire la curiosité des historiens d’art et nourrit leur spéculation. Qui avaient fini par conclure à une peinture satirique moquant les vieilles femmes qui se griment pour paraître plus jeunes. Jusqu’à ce que la science s’en mêle.

                  Ce tableau n’était pas satirique. L’« affreuse duchesse » était difforme. Des médecins britanniques le prouvent.



                  En 1989, Jan Dequeker, rhumatologue à l’université de Louvain, émet pour la première fois une autre hypothèse : et si le tableau était le portrait d’une femme difforme, atteinte de la maladie de Paget, une affection qui se caractérise par une poussée excessive et anarchique des os et qui peut, quoique rarement, affecter la structure du crâne ? Un étudiant en médecine britannique et son professeur confirment aujourd’hui l’hypothèse.

                 Un chirurgien passionné d’art arpente les couloirs des musées avec son essaim d’élèves. l’homme désigne la vieille duchesse à ses élèves et émet l’hypothèse de la maladie de Paget. L’un d’eux, Christopher Cook, s’en saisit. Et très vite, confirme le diagnostic. Car dans les traits de la femme, les symptômes caractéristiques de l’affection sont nombreux : un front bombé, une arcade sourcilière épaisse et une distance exagérément grande entre le nez et la bouche, formant un visage à l’aspect léonin. Des lèvres ourlées vers l’intérieur qui trahissent l’absence de dents, une main aux articulations gonflées, signe d’arthrose. Autant de conséquences fréquentes de la maladie de Paget. Enfin, la large clavicule de la vieille femme achève de convaincre. « Si l’artiste cherchait juste à s’amuser, à peindre un visage laid, il ne serait pas allé jusqu’à dessiner le détail d’une clavicule épaisse », souligne Michael Baum.

    Conclusion :

                  la femme difforme a bien existé. Restait à lever le voile sur son identité… Là, les deux scientifiques se tournent vers les historiens d’art et se forgent une opinion. « Parce que les vêtements qu’elle porte sont étonnamment à la mode pour la région et l’époque, nous pensons qu’elle a dû tirer bénéfice de son apparence, confie Christopher Cook. A cette époque, les personnages étranges et les “monstres” étaient à la mode à la cour, cela pourrait expliquer la richesse de ses vêtements. »

     Commentaire:

    "L'affreuse duchese" est un tableau montrant le génie de QUENTIN METSYS.Malgré le portrait qu'il présente-celui d'une femme laide-il est arrivé à nous pousser à l'admirer et garder les yeux y fixés.                                                                                                                                                         A mon avis,il est facile de faxiner les gens avec un beau portrait ou une belle présentation,mais le plus difficile est d'évoquer ce mème sentiment par la laideur et arriver à l'embellir.                A travers ce beau tableau,l'artiste veut trasmettre à toute personne qui se se sent sous éstimer un message clair et direct:"comme vous soyez gardez votre fièreté de soi et ne baissez jamais les yeux de honte.Si vous acceptiez l'état sur laquelle vous ètes,vous forcez tout le monde à vous accepter et à vous respecter".
                                                      Fouzia Sayeh.